
Ils ont décidé d'y répondre en reprenant les ingrédients de leur précédent album : un son punk rock plutôt bien travaillé, jouant assez adroitement avec les nuances dans une sorte de gigantesque opera rock en trois actes.
American Idiot 2.0 ?
Sauf que franchement, on a l'impression de se faire un peu avoir. La prise de risques est ici super limitée, et à la première écoute, on a vraiment la sensation d'avoir un American Idiot 2.0 sur la platine ; même si l'ensemble est bien fait. On se doutait bien qu'avec 21th Century Breakdown, on n'aurait pas forcément droit à un album aussi marquant que son prédecessur (qui constituait une sacrée étape en repensant au groupe qui, en 1994, se faisait connaître avec le mythique Basket Case). Mais de là à avoir une création aussi peu aventureuse...
On pourra toujours se consoler en se disant que certains titres sont vraiment réussis, à l'image de Peacemaker. Mais, à choisir, on préférera American Idiot, les aventures de St Jimmy et l'excellent Boulevard of Broken Dreams...
Bien à vous,
Benny
PS : et voilà, un retard de chroniques de rattrapé. Hé, hé, hé...
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