lundi 24 mai 2010

Tout ce que vous n'avez jamais lu chez Benny

Question : Combien font 82 plus 74 ajoutés à 44 ? Ne vous provoquez pas d'hemorragie méningée, je vais vous le dire : ça fait 200. Aujourd'hui, le Monde de Benny fête son 200e post.
Pour marquer le coup, j'aurais pu organiser un grand concours avec plein de lots à gagner, des lots qui font rêver mais bon :

1/J'ai pas de généreux donateurs de cadeaux (A moins que récupérer le demi-coffret de la saison 3 de The West Wing - épisodes 1 à 11- vous fasse rêver. Vous trouvez ça idiot, une moitié de saison ? Ben vous comprenez mon désarroi à voir la boite prendre la poussière...)

2/J'ai pas trop d'idée de concours trop-la-classe-comme-Jimmy-Paige à vous proposer

3/Faut se rendre à l'évidence, ce blog est aussi fréquenté qu'une salle Art & Essai dans la Creuse (Mais c'est comme ça : ici, on travaille la qualité du lecteur, madame. c'est lui le roi)

Alors on va faire autre chose. On va sortir les bonus. Le chutier. Les anecdotes et secrets plus ou moins honteux. Tout ça avec une photo de mon principal outil de création (non, l'outil en question, c'est pas mon caleçon: ça, c'est pour tenir une promesse pour appâter le chaland. Mais oui, il est propre).

Les posts que vous n'avez jamais lus :
Un texte qui s'appelait "Thirtysomething else", en hommage à une série des années 90, Thirtysomething, laquelle évoquait la vie de trentrenaires qui bavassait beaucoup. Ca racontait comment moi et mes potes on est passé des soirées bières/films/Discussions sur le sexe opposé à soirées vin/films/échange de recettes de cuisine/temps qui passe. Mais c'était beaucoup trop décousu.

Un autre sur le jour où j'ai rencontré Adam de Blabla Series dans The real life. C'était super cool même si je l'ai trouvé vachement grand quand je l'ai rencontré (c'est ça ou j'ai les genoux bien trop près du sol. Ce qui est tout à fait possible). On est surtout aller boire un coup en ville dans un improbable bouiboui. "Chez Poppy", ça s'appelait je crois. C'était très typique : la patronne avait des dents comme les pavés des vieux rues de AdamCity. Sinon, on a parlé séries et plein de trucs c'était cool.

Un autre encore sur ce périple pseudo-romantico-concon où je me suis mis dans la tête de faire une surprise à une fille que je voyais sporadiquement. Je suis parti à 19h et je devais arriver chez elle à 20H30. Enfin ça, c'était le plan : je me suis perdu et j'ai absolument tenu à ne pas l'appeler (oui, j'aime crier "surprise" avec un bouquet de fleurs, quand j'achète un bouquet de fleurs pour faire une surprise). Résultat : je suis arrivé à 23H, avec un bouquet tout flappy devant une fille qui portait un pyjama en pilou, sous somnifères parce qu'elle avait subi une opération la semaine avant. Elle avait rendez-vous le lendemain tôt avec son médecin et... sa mère était là. Une très gentille dame.

Un autre sur ma rencontre avec Une Blonde dans la ville. Ben, les enfants, elle est encore plus chouette, intéressante et drôle en vrai. Un très très chouette moment. Enfin tout ça, c'était avant de lire sa recette personnalisée du cake qui fait que je ne regarde plus du tout une feuille de papier sulfurisé de la même façon...

Un autre où j'aurais dit tout le mal que je pensais de Grey's Anatomy. Mais à tout prendre, je préfère parler de trucs que j'aime plutôt que de perdre mon temps avec ce soap histerico-bancal Comme une critique du film "Collateral" de Michael Mann qui est un pur film et que j'aimerai bien analyser un jour.

Sinon, il y a le très, très fameux reportage (ou plutôt tentative de reportage) que j'ai essayé de faire pour la BennyCorp en pleine polémique sur l'interdiction de la fessée... en demandant leur avis aux membres du milieu SM de BennyCity. Je me suis retrouvé coincé à 9h du mat dans un sauna libertin vendredi, à attendre le patron. Avant de me rendre compte que j'étais coincé à l'intérieur avec deux plombiers. Je sais : ça ressemble à un pitch de film où les gens passent leur temps à se faire la sexualité mais l'histoire s'arrête là. Et le patron de l'établissement, arrivé une heure plus tard, n'avait rien à dire sur le sujet qui m'amenait. Chou blanc.

On peut aussi parler de la fois où, toujours pour la BennyCorp, j'ai fait le portrait d'un drôle de gars sorti de taule. Un peu timide, en tout cas peu bavard. On avait rendez-vous à l'Observatoire des prisons et je lui avais laissé mon numéro en cas de souci. Ca c'était avant de savoir qu'il avait notamment été condamné pour harcèlement téléphonique. Mais bon, il m'a jamais rappelé... alors ça va : le papier devait se tenir.

Voilà, voilà.
On se donne rendez-vous pour le numéro 300 ? En même temps, si vous venez pour le 201, c'est bien hein...

Bien à vous,
Benny

5 commentaires:

aussielilie a dit…

Happy 200th !

Mais arrête hein, c'est pas parce qu'on commente pas qu'on est pas là. Perso, je suis là, à chaque fois... :) J'attends le 201 et ceux d'après.

Benny a dit…

@ Ausielilie

Thank you ! Et je sais que toi tu es là. Cependant, tu as raison : j'arrête de râler.

Arnaud J. Fleischman a dit…

200. Put*** 200.
Félicitation, la grosse difficulté dans les blogs c'est de durer. J'en sais quelque chose.
Vivement la suite...

Et je n'oublie pas que je t'ai donné un gage ;)

Benny a dit…

@ Arnaud:

Merci et ne t'inquiète pas, c'est toujours dans les tuyaux. Ca va même sortir bientôt.
Tiens d'ailleurs Aussielilie devait donner un gage...

aussielilie a dit…

Han EXACT ! Merci Arnaud de le rappeler... Je vais y réfléchir. :)