mercredi 24 août 2011

Going to California

Entre deux cartons rangés dans le frigo transporté dans un camion, et des mails et coups de fil pour trouver un appartement dans la Grande Méchante Ville (et composer des dossiers de candidatures hallucinants), je suis allé à la Fnac profiter d'une opération promo sur le rock californien des 80's et 90's (c'est pas que pour moi, c'est aussi et surtout pour le mange-disque de la BennyMobile).

L'occasion de compléter ma collection de classiques avec des albums qui manquaient sur mes étagères en mouvement. Et un petit moyen pour voyager dans le temps. Alors que certains ne savent pas trop quoi attendre de la sortie imminente du prochain album des Red Hot Chili Peppers, moi, je fais tourner Blood Sugar Sex Magik, non sans me rappeler des nuits où, ado, j'enregistrais sur des cassettes Type II, Suck My Kiss et autres titres qui secouaient quand même bien sa mémé...

Au-delà de cette confidence hyper générationnelle (qui fera sourire les uns et pouffer les autres), je me suis aussi aperçu d'un truc étonnant. Que ce soit l'album susnommé des Red Hot ou Use Your Illusion I & II, ces albums avaient 16 ou 17 pistes à faire entendre. Alors certes: tout n'est pas d'une originalité confondante ou d'une qualité ébouriffante, mais quand même... pourquoi est-ce que les albums de 2011 n'ont que huit à dix titres à offrir à nos oreilles? Crise du disque qu'ils disaient...

Bien à vous,
Benny

PS : Sinon, j'ai aussi fait main basse sur la BO de Tenacious D, avec Jack Black et ça le fait bien. Ca et un autre truc dont on reparle très vite.

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